lundi 26 juillet 2010

Celui -ci



Les couleurs se sont dissociées
Il avance au milieu des éclats aveuglants
Qui fusent de tous côtés



Cristaux entrechoqués
Le sol 
Grande piste de danse 
Se mouvoir 
Gestes pointus
Et puis.
 

5 commentaires:

  1. Sé seo ar cheann


    Na dathanna atá scartha
    Bogann sé trí lár an flashes blinding
    Cé báite

    Rien ne parait
    Le calme total
    D'un éclair
    A la lisière du bois

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  2. Rien n'est impossible. Les couleurs, les pensées, la parôle: et les découvertes dans le pays limitrophe entre la veille et la sommeil.

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  3. J'aime beaucoup ces couleurs et le dynamisme qui s'en dégage !

    C'est le pied !

    (ne devrais-tu pas t'interroger, d'ailleurs, sur cette prolifération de pieds et de chaussures sur ton blog ?)

    :-))))))

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  4. chère Licorne ,
    ta très pertinente remarque m'a fait éclater de rire!!
    tu as entièrement raison !! c'est bizarre tous ces pieds ..je vais tenter d'analyser ça , d'autant + , qu'à bien y réfléchir , cette chère Croukougnouche dont j'ai emprunté le nom est une géante souillonne qui collectionne les petites pantoufles d'enfant pour s'en faire des colliers ...ça devient inquiétant , tout ça ..
    à ton avis, ça se soigne??

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  5. Si tu veux analyser ça, Croukougnouche, il y a au moins deux pistes:
    La première pourrait révéler une tendance casanière, voire "pantouflarde", une nature qui aime rester dans "ses petits chaussons", douillettement...

    La deuxième est celle de Docteur Freud et elle évoquerait une certaine attirance pour les rapprochements masculin-féminin...

    Bref, rien que du "normal" à première vue...pas de pathologie grave à l'horizon...

    Tu peux donc reprendre tes ballerines et danser...la vie est belle...surtout quand on trouve "chaussure à son pied" ! :-)

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