Pour tout vous dire...
J'ai beau être en vacances,
J'ai la sensation d'avoir tant à rattraper.....
Que les journées ne sont pas assez longues pour réaliser peu à peu les diverses choses qui me tiennent à cœur et aux mains..
1/ commencer et terminer le deuxième petit gilet coton
( promis pour mes deux biquets )
Le premier est à la bonne taille ,ouf!
2/ Surveiller et arroser les tomates....
Première mangée hier...
Ainsi que les premières pommes de terre cultivées par V.
3/ Se souvenir avec délices des deux journées stage
Arts plastiques
1 et 2 Juillet
Un peu plus haut en Ardèche ,
Une première pour moi, en tant que "formatrice"
Appellation qui ne me correspond pas trop
Car c'est plutôt une situation d'échanges et de propositions..
Un retour à l'équilibre entre musique et peinture...
Mélanges colorés
Essais Monotypes
Inventions autour du carton...
Un groupe exclusivement féminin
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Deux journées pour entamer l'été..
Hier soir, concert nocturne d'un orchestre à cordes de jeunes musiciens de Malaga,
Au palais des Évêques de Bourg st Andéol
( Découverte d'un compositeur, Karl Jenkins)
L'allegretto de son concerto grosso pour cordes est en écoute sur mon mini-lecteur )
Un régal !!!
Et maintenant..
Rangement tous azimuts:
Nouvelles étagères pour les livres trop entassés
Confiture d'abricots:
Casser les noyaux pour récupérer les amandes à ajouter..
Tellement meilleur !
Sorbet à la banane pour tester la turbine magique
Petites crèmes caramel à sortir du four
et tout à l'heure...
Partir au Val des Nymphes,
De l'autre côté du Rhône
Chez
Magnifique lieu d'exposition pour l'Art contemporain
A La Garde Adhémar.
A partir d'aujourd'hui:
Les ouvres de
Janos Ber
Né à Budapest en 1937, Janos Ber arrive à Paris en
1957, attiré par la peinture de Cézanne; il s'inscrit aux Beaux-Arts de
Paris. Deux ans plus tard, deux évènements importants vont marquer sa
vie d'artiste: la rencontre avec Simon Hantaï et la découverte de la
peinture américaine de Sam Francis, Rothko et Pollock. Depuis cette
époque, il ne cesse de travailler et d'interroger la couleur, la forme
et l'espace.
Formes découpées, assemblées, lignes tracées, repentirs : la ligne et la
couleur, toujours en relation avec le blanc du papier ou de la toile,
dans l'espace du tableau ou à l'échelle de l'architecture, font émerger
des figures complexes, vivantes, émotionnellement chargées. Bien que non
figuratif, Janos Ber ne se considère pas comme un peintre abstrait. Sa
peinture est l'image d'un mouvement émotionnel, physique et mental, un
mouvement qui est le sien. La peinture n'est pas informelle, elle tend
en permanence vers la construction d'une forme, d'une image.
Au musée départemental Matisse, l'exposition se concentre sur la période
allant de 1990 à nos jours. En ouverture de l'exposition, le visiteur
est immédiatement plongé dans un espace créé spécifiquement par
l'artiste où les peintures murales environnent le spectateur.
A
Kerguéhennec, l'exposition propose un parcours, non chronologique, qui
remonte au fil du temps, d'aujourd'hui à 1959. On y découvre les étapes
clés du parcours de l'artiste et on comprend, qu'au-delà des ruptures
apparentes entre les différentes périodes qui se succèdent, il existe
une ligne continue sous-jacente : la mise en tension de la construction
de la forme et de la circulation de flux.
« Pour moi, peindre, ce sont seulement des lignes que je trace les
unes après les autres, dans une certaine direction, se rapprochant,
s’écartant, se coupant, animées plus ou moins . »
L’art pictural de
Janos Ber est celui du montage, montage entre des lignes, des formes,
des couleurs et le fond infini de la toile.
Pour cet homme
né à Budapest en 1937, établi en France en 1957, la peinture est donc
une mise sous tension qui permet à son auteur de transposer la vie même
sur la surface vierge des toiles. Deux lieux lui rendent actuellement
hommage: le Musée départemental Matisse du Cateau-Cambrésis et le
centre Pierre Tal Coat de Kerguéhennec. Dans le premier, la dette envers
Simon Hantaï est clairement perceptible avec ses espaces froissés,
bariolés. Dans le second, on comprend également combien Rothko ou
Pollock furent essentiels pour lui. De Rothko, il retient la notion de
champ coloré qui vibre, s’avance vers le spectateur ; de Pollock,
l’intuition que le fond est une arène dans laquelle le peintre entre
sans idées préconçues, si ce n’est celle d’animer la toile par des
motifs toujours renouvelés. (Connaissance des Arts)