Cette beauté violence douceur fleuve .. Le choc quand je l'ai vu et écouté en concert à Strasbourg en 1974 ,
j'avais 18 ans , je n'ai jamais oublié.
Les refusés - plus de places ou pas de fric à l'entrée manifestant
bruyamment , lui , sortant de scène , on se demandait s'il allait
revenir , il a obtenu qu'on les laisse entrer ,
lui, l'anar chronique ,
ça aurait fait tache , quand même et cette masse de jeunes assis
ensuite par terre , au plus près du vieux fauve ..
soirée magique. lui
tout seul au piano ou sur ses bandes son , tout en noir crinière blanche
..
j'en ai encore des frissons. j'ai toujours gardé les vinyles des beaux albums des années 70
Groupe de création et d'exploration musicale, aussi à l'aise dans la
chanson que dans une fugue de Bach, spécialisé dans l'improvisation
vocale, volontairement et absolument inclassable. Tous quatre sont chanteurs et instrumentistes, marquant une préférence et une orientation essentiellement vocales.
J'ai déjà eu l'occasion de vous présente mes nièces chanteuses et musiciennes, les voici descendues en Ardèche avec leur ensemble vocal VOCA MUNDI pour deux concerts exceptionnels , le week-end prochain
A Saint Montan Samedi 26 Septembre à 18h à l'église Ste Madeleine
A Viviers Dimanche 27 Septembre à 17h à la Cathédrale St Vincent
Je vous espère très nombreux à venir vous émerveiller les oreilles et le cœur !
Nous avons vu et adoré ce spectacle d'une forme très originale
Plein d'humour et de fantaisie
A la veine policière...
tous les jours jusqu'au 26 Juillet
Au Théâtre du centre
A 13h
Crédit photo : Jean-Louis Bouché
Légende photo : quelques interprètes de Pas de pardon,habitants de Maisoncelle St Pierre devant l’objectif de Jean-Louis Bouché.
La tranquillité d’un petit
village de Picardie est soudain troublée par la découverte d’un cadavre
flottant sur l’eau de la mare. De qui s’agit-il ? Hippolyte Potoski,
policier à la retraite, mène l’enquête et exhume des souvenirs de la
guerre d’Algérie : la mémoire collective aurait préféré qu’ils demeurent
enfouis. Si la scène accueille trois comédiens professionnels, ils sont
quarante amateurs sur l’écran ! Tous habitants de
Maisoncelle-Saint-Pierre et ses environs, ils se sont prêtés au jeu du
photo-roman, choisissant costumes et personnages pour incarner au mieux,
devant l’objectif du photographe Jean-Louis Bouché, cette histoire qui
ravive une époque complexe et peu glorieuse. Le charme du photo-roman
donne « une singulière poésie » au jeu théâtral, et celui-ci prend le relais de l’émotion pour exprimer « le rugueux de la vie et la force des sentiments ». Une belle aventure humaine et artistique où le théâtre se fait véritablement populaire ! Catherine Robert
COMPAGNIE LA CYRENE – PAS DE PARDON du 3 au 26
Juillet 2015 à 13 H 00 au FESTIVAL OFF D’AVIGNON – THEATRE DU CENTRE –
13, rue Louis Pasteur 84000 AVIGNON – Réservations 06 64 91 55 67 –
Description : Au Théâtre du Centre Pas de pardon est le Premier Photo Roman Théâtre de l'Histoire !
De Roger WALLET
Distribution :avec Julie Evrard, Michel Fontaine, Guillaume Paulette et Gérard Eloy et la participation de Stéphanie Fibla Mise en scène : Gilles Rémy Photographe : Jean-Louis Bouché Eclairagiste et projectionniste : Jérôme Pigeon Costumière : Jacquotte Fontaine 40 villageois de Maisoncelle-Saint-Pierre (Oise) et du Beauvaisis
Vous revenez du festival
d'Avignon où vous avez fait une belle provision de théâtre, de rêves et
de souvenirs de toutes sortes. Et puis vous allez au supermarché ou chez
le dentiste bien décidé à revenir sur terre, quoique encore abasourdi
par le chant des cigales.
Comme c'est bizarre, vous
n'avez pas sitôt mis les pieds dans la salle d'attente du dentiste que
vous vous croyez encore au théâtre . Est ce possible ? Mais oui bien sûr
! vous répondra le Commissaire BOURREL alias Raymond SOUPLEX des Cinq
dernières minutes. Y a t-il un Commissaire de l'âme capable de discerner
quelques uns de ses mystères ?
"Le
théâtre est la vie" renchérit la Compagnie la Cyrène . Et elle nous le
prouve avec un joli spectacle “Pas de pardon” qui, tout en défilant une
intrique policière captivante, invite le public à faire connaissance
avec les habitants d'un village de Picardie, MAISONCELLE.
Ils sont quarante
villageois comédiens en noir et blanc à avoir participé à ce spectacle.
Ils composent le roman photo qui illustre brillamment - les photos de
Jean-Louis BOUCHE sont superbes - l'histoire policière, concoctée par
Roger WALLET et mise en scène par Gilles REMY. L”équipe du spectacle,
sur scène, est si bien imprégnée de l'histoire mi fictionnelle, mi
réelle qui appartient au village, qu'on peut croire les comédiens surgir
des photos elles mêmes.
De
fait, les quatre artistes présents sur le plateau entraînent avec eux
tout le village. L'exercice a quelque chose à voir avec la magie, celle à
la fois du conte et de la réalité quelque peu vacillante.
C'est son ici et
maintenant qui résonne dans ce spectacle . Les années cinquante se
retrouvent nez à nez avec les années 2000 ! Bien qu'il se défende d'être
comédien, l'accordéoniste Michel FONTAINE assure avec enthousiasme le
rôle d'Hippolyte POTOSKI, le commissaire à la retraite, accompagné de joyeux partenaires, Julie EVRARD, Guillaume PAULETTE et Gérard ELOY.
Comment ne pas fondre en écoutant la voix de BREL ou celle de Léo FERRE sortir d'un minuscule pickup ?
Ne dites pas que nous
sommes à la brocante ! Les visages qui nous dévisagent sont bien réels .
Ils ont autant de secrets que BREL ou Léo FERRE. Mais nous ne vous en
dirons pas plus. Pour résoudre l'énigme, il convient de s'adresser à
Hippolyte POTOSKI et son équipe qui vous attendent en chair et en os et
en musique au Théâtre du Centre, tous les jours à 13 Heures.
Vous y serez bienvenus ! Car à MAISONCELLE comme à AVIGNON , le théâtre c'est la vie !
Paris, le 15 Juillet 2015
Evelyne Trân
Également cet article dans le Parisien
La Cyrène quitte Maisoncelle-Saint-Pierre pour jouer en Avignon
Patrick Caffin | 14 Juil. 2015, 15h16 | MAJ : 14 Juil. 2015, 15h16
Avignon, ce lundi 13 juillet.
Pour exister au milieu des 1 380 spectacles du Off, le tractage est un
élément essentiel. Ici, la compagnie de la Cyrène, de Michel Fontaine
(en bleu) en costume dans les rues de la ville, à la rencontre des
festivaliers. (LP/P.C.)
De
Maisoncelle-Saint-Pierre à Avignon. Le raccourci est saisissant et
concerne aussi bien la compagnie la Cyrène, basée dans ce village du
Beauvaisis, que la pièce qu’elle présente au festival d’Avignon : « Pas
de Pardon ». « Nous avons pris des photos d’intérieur de maisons du
village et de trente Maisoncellois, précise Michel Fontaine.Ils appartiennent au décor de la pièce que nous
avons transporté ici. C’est pour ça que nous disons aux spectateurs
qu’ils vont assister à un photo-roman-théâtre ». Le point de départ de
l’histoire est un mystère jamais résolu. « Il y a eu un drame à
Maisoncelle, une maison abandonnée du jour au lendemain, raconte Michel
Fontaine. La table était mise et le propriétaire a disparu.Meurtre ? Fuite ? Roger Wallet, l’auteur, s’est servi de cette histoire comme
prétexte pour la pièce. Cette disparition fait ressurgir le souvenir
douloureux de la guerre d’Algérie et de ce qui a pu se dire dans les
campagnes à ce sujet ». Michel Fontaine travaille depuis deux ans sur ce
sujet. Avignon est la touche finale et le point de départ de
l’aventure, une possible tournée. « C’est mon 4e Avignon, à
chaque fois il y a eu un effet festival, confirme-t-il. Ça s’est traduit
par l’achat de cinq ou vingt dates mais on a pu sortir du département.
Aujourd’hui, on plante les graines ». Cette aventure avignonnaise a un
coût. Important. « Nous sommes six à avoir fait le voyage et
heureusement, nous avons trouvé une maison à un loyer réduit, indique
Michel Fontaine. Malgré cela, l’investissement est de 25 000 € et nous
avons 6 000 € d’aide de la région et nous devrions avoir 5 000 € du
département. Malheureusement, l’Agglo n’a pas la compétence culturelle
et ne nous aide pas ». Chaque jour l’équipe joue à 13 heures, au théâtre
du Centre, rue Pasteur. Mais leur journée ressemble à un sacerdoce. «
On part au plus tard à 9 heures, indique Michel Fontaine. De 10 heures à
midi, on fait notre parade en costume et on tracte dans les rues de la
ville. A 12 h 45, on a 10 minutes pour monter le décor. A 16 heures, on
tracte deux heures avant de rentrer. Pour l’instant, on se concentre sur
notre travail ». Après dix jours, les premiers retours sont bons et pas
uniquement parce que la troupe offre la « goutte de Maisoncelle » à la
fin du spectacle.
Elle a été le moteur de différents projets sur le département de l'Ardèche,
dont le lancement de
l’Anti chorale,
Collectif atypique ultra motivé
Autour de Viviers
Que j'ai eu la charge et la joie d'animer cette année,
de Janvier à Juin .
Nous avons travaillé et appris plusieurs de ses chansons,
+ un détournement de la mauvaise réputation de Brassens
ainsi qu'un magnifique chant en arabe.
Trois concerts successifs
ont complètement décuplé les énergies chantantes .
Juliette ayant le don de provoquer les rencontres
De créer le lien qui change tout,
Elle-même excelle à conjuguer toutes les facettes de son art:
Jouer , Chanter ,dessiner et se fabriquer des personnages
musique , danse et théâtre de rue
mêlant l'imaginaire des contes de l'enfance
A son univers très personnel
A la frange du fantastique onirique,
Grâce l'utilisation de masques et marionnettes.
Avoir peur..ce peut être absolument délicieux
La Reine des Pleurs a revêtu
sa robe argentée toute brodée de médicaments en plaquettes cousues de fil d'araignée
Véritable antidote à la mélancolie..
photo: V Balaÿ
Son complice dans la vie et sur scène, Guy, officie aux manettes des machines fabuleuses Ou au saxo et contrebasse électrique, Un écrin musical taillé sur mesure pour cette fée espiègle
Qui nous embarque tous , grands et petits, dans son beau livre d'histoires loufoques et ténébreuses..