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vendredi 30 octobre 2015

Lanterne de lune






photo V Balaÿ trafiquée par Crouk



Dedans est dehors
Murmure de verre 
Transparence des émois étouffés 
Dans ce paysage au rêve adossé.
Nuit de mer
Nuages encore

J'ai laissé ma veste sur la chaise
Et le vent dans mon cou.
 Lanterne allumée
Au ciel accrochée 
J'attends que tu te taises
Et je te dirai tout:

 Parfum d'écume
Des soirées d'autrefois
 Fracas des tempêtes
Qui résonne à tue tête
 Dentelles de la brume
Brodée de sel et de soie

Dehors est dedans
La lune y est pleine
Et la table rouge à pois.
Il était une fois
Il y a très longtemps 
Un roi et une reine.....
















jeudi 6 août 2015

Christian Cazals pour toujours



https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjRgGKF_7dT7fGW7Bd05MYIfiiHyMM6NJqHKTvgJvVjo9YYQl38mKkFcf5YK3uCGplEGF9Ya_RgdfHUHDAwQMvfHRP_53113JpZ7MxSvJ9JxlsUJMxmyegjPEcaaRmuvE9uAu51-GTp1KE/s1600/1-IMGP0209.JPG 

Il n'écrivait plus que par intermittence
La maladie ayant endigué ces derniers mois
le flux de sa création en écriture poétique .
Il s'est endormi hier matin
au bord de ce fleuve mystérieux 
qui sépare le monde tangible de celui des invisibles
Déjà, il imaginait cette traversée ,
Bercé par le balancement de l'esquif ,
Et le son rythmé de la rame du passeur
 plongeant dans les eaux noires et sinueuses.
Son imaginaire fécond était imprégné 
de cette proximité
 entre les deux rives de la vie.

Naissance et Mort

L'amour aux deux visages
Eros
et 
Thanatos

Ses textes de poésie érotique 
ont été reconnus par la critique parisienne
 et primés pour leur qualité littéraire.

Il a été pour moi le déclencheur 
De mes débuts en blog,
Lui qui avait déjà initié son 


Il a ,
avec grande amitié 
soutenu et stimulé mes premiers pas sur ces pages
Nous avons même en 2009 ,
 entamé une fiction rocambolesque à 4 mains


Qui a emporté nos héros inventés
 Fausta et Gianfranco 
de Venise jusqu'en Afrique du sud!
nous avons écrit cette pochade au fur à mesure,
Un truc carrément improbable!
Mais qu'est ce que nous avons ri!

J'avais d'ailleurs commencé récemment
à regrouper nos écrits 
pour pouvoir  lui communiquer le tout 
mis en forme dans la continuité
Dans pas trop longtemps
peut-être cet hiver ...

Je vous livre ci dessous l'un de ses textes


SORTIR DU MONDE SOUTERRAIN

Sortie de l'ombre

ses pas foulent les berges de l'Achéron

- le pied imprime le sable noir volcanique-

sable des heures de feu.

La nudité de son corps en image glacée, pétrifiée,
 se mire et le reflet palpite
 car le plaisir du souffle parfumé de la montagne battue par le vent...
une caresse sur le ventre,
  fil de soie,
 attouchements nocturnes,
moiteur parfumée de benjoin,
sommeil de l'ombre de la caverne 
refuge de Charon,

enveloppant encore

ses formes alanguies.


et sa toute dernière publication le 29 Juin.

Les jours de maladie

Ils sont gris.
Qu'en dire?
Ce sont des jours de grande mélancolie.
Parfois une larme furtive
Un geste qui nous fait penser à l'étreinte,
Celle de l'être aimé,
Celui que l'on parcourt avec des lèvres fiévreuses,
On se souvient des mots de l'amour,
Ceux que l'on murmure
Des mots inaudibles,
Des mots de chair en pâmoison qui ne sont plus
Des mots de sexe.
Un chant.
Un cri.
Le sourire d'un ange . 



Qu'il a fait précéder d'un poème de Charles Baudelaire

 
  Tristesses de la lune


Ce soir, la lune rêve avec plus de paresse;
Ainsi qu'une beauté, sur de nombreux coussins,
Qui d'une main distraite et légère caresse
Avant de s'endormir le contour de ses seins,

Sur le dos satiné des molles avalanches,
Mourante, elle se livre aux longues pâmoisons,
Et promène ses yeux sur les visions blanches
Qui montent dans l'azur comme des floraisons.

Quand parfois sur ce globe, en sa langueur oisive,
Elle laisse filer une larme furtive,
Un poète pieux, ennemi du sommeil,

Dans le creux de sa main prend cette larme pâle,
Aux reflets irisés comme un fragment d'opale,
Et la met dans son cœur loin des yeux du soleil.
 
Charles Baudelaire



J'aime à penser que,
Délivré enfin de tous ses maux ,
Il converse désormais avec tous ces poètes immortels
Qui ont nourri et inspiré sa plume,
Et peut visiter à nouveaux les lieux chers à son cœur:

Casamance,
Afrique des griots  
au son des musiques qui font danser...






A Kafountine 
au Sénégal
il aurait tant aimé finir ses jours,
Y ayant travaillé en théâtre et écriture
 avec les collégiens de cette ville
Son attachement pour l’ancestrale terre d'Afrique 
était puissant et authentique.

Plage des Pêcheurs . Mirflet Sahara Occidental

Les barques bleues




Elles s'endorment sur la plage paresseusement étendues.

Dix heures du matin, retour de la haute mer, le fond de la barque est recouvert d'un filet parfois déchiré par le poids excessif d'une pêche miraculeuse. Les sardines sont encore vivaces. On les voit sauter ainsi que les bonites et parfois de longs poissons argentés.

Les pêcheurs sautent sur la plage et tirent la barque sur le sable. Les femmes déchargent la cargaison frétillante et commencent à nettoyer les prises engluées de sable et de coquillages parasites. On prépare le feu de fagots sur lequel les sardines vont griller en dégageant une odeur qui pénètre les narines et envahit le cerveau.

Le repas terminé une douce torpeur s'empare des corps. Les hommes s'étendent sur le sable et le visage recouvert d'un fin tissu de soie s'endorment et reposent leur corps épuisé par la navigation nocturne.

Christian Cazals / Bouchérif 



 

mercredi 23 octobre 2013

Un livre et feuilleton culte de mes jeunes années :" Adieu mes 15 ans "









Vous devez bien vous esclaffer
( surtout les "Blogbos", je les entends même d'ici ) :
Passer de la scène électro - ciné alternatifs  et décoiffants à un feuilleton mignonnet des années 70...
Mais voilà , c'est la faute de cette chère




Son dernier billet , avec sa musique , 
son sujet sur les Mlles etc..
Je me suis souvenue soudain , 
je ne sais pourquoi ,
de  dette série qui fit mes délices à l'époque où..

Voici quelques infos trouvées en partie sur

"Coucoucircus"
un site forum sur les génériques télé



Comme son titre l'indique, il s'agit des aventures d'une jeune fille. C'est la fin des années 50, Fanny (Patricia Calas), a 15 ans et habite Boulogne sur Mer. .....
La série (créée par Pierre Dupriez) est une adaptation d'un roman de Claude Campagne :
" Adieu mes 15 ans"
 (Après quelques très rapides recherches, il s'avère qu'en fait Claude Campagne 
 n'est pas une personne mais deux ! 
 Derrière ce nom se cachent en fait un couple d'écrivains, Ce que je découvre seulement aujourd'hui .


 Brigitte Dubreuil publia en 1960 le best-seller «Adieu mes 15 ans» écrit avec son mari sous le pseudonyme de Claude Campagne. 

Jean-Claude Dubreuil.jpg 


Ce livre, édité dans la collection "Rouge et  Or - Spirale "
va être vendu à 650 000 exemplaires, dont 450 000 en France.
 Ce best-seller fit aussi l'objet d'une adaptation télévisée à succès.
 
La toute première diffusion de la série remonte au 4 Mai 1971 sur la première chaîne de l'ORTF (19 épisodes de 13 minutes).
C'est la période où je l'ai visionnée.
Celà ne faisait pas si longtemps que nous avions la télé à la maison
j'avais tout juste 15 ans moi aussi..

La musique est signée par l'immense Georges Delerue qui en dehors de son immense carrière cinématographique a eu l'occasion de travailler à de nombreuses reprise pour la télévision
 (Jacquou le Croquant, Arsène Lupin Joue et Perd, Les Chevaux du Soleil -  La Cloche Tibétaine, etc...).











deux autres raretés dénichées sur youtube
que je suis ravie de vous faire partager
j'espère que les messieurs ne vont pas glousser sous cape!
la prochaine fois je vous ressortirai Zorro et Lagardère!
















dimanche 21 juillet 2013

L'été où j'ai appris à nager








J'ai appris à nager il me semble autour de 6 ans,
Côté Atlantique, 
A Granville ,
Sur la plage 
du
 Plat gousset


Dans un bassin tout en longueur ,
 Genre de piscine d'apprentissage ,
nommée pompeusement "Piscine Nausicaa"
J'ai encore dans l'oreille le 
"Grenouille, Écarté , Serré ! "
du maitre nageur  ,
Et de mon application à bien mettre les mains en cuillères,
en étirant les bras sur les côtés 
pile poil au bon moment par rapport au "Grenouille..." des jambes.
Car tout est dans la coordination , 
pour atteindre flottaison et propulsion maximum.
Ma sœur a appris en même temps je crois .
C'est un peu flou tout ça.
mais en fait , non,
 Elle était carrément trop jeune, il faudra que je lui demande où... 
mon père vient de me dire que Granville ,c'était en 1962..

 On ne nous a jamais fait sauter ou plonger, pour entrer dans l'eau.
La pédagogie d'alors ne préconisait pas une familiarisation avec le milieu aquatique basée sur l'instinctif.
Pas de  ploufs préalables  .

Le moment fatidique où le nombre de flotteurs en liège sur la ceinture de nage a tellement diminué,
qu'il est vital de remuer ses abattis comme on vous l'a appris 
en essayant de ne pas trop relever le menton 
( ce qui fait plonger les fesses! )
avec l'espoir de ne pas boire la tasse..
Et soudain , génial , le poisson gigote et barbote!
Mettre la tête sous l'eau , oui, 
Mais j'ai toujours peu aimé ça, 
même si par la suite, vers 13- 14 ans
Au bord de la grande bleue du sud , 
j'ai adoré nager avec un masque , 
avec notre amie Anne qui connaissait tous les petits rochers où poser les pieds pour se reposer.
nous la suivions à la queue leu leu 
dans cette crique appelée "Les Marguerites" 
aujourd'hui inaccessible en raison de la privatisation arbitraire du chemin d'accès ...

Mais revenons à cet été à Granville:
Nous logions dans l'appartement prêté par des cousins ou amis de mes parents ,
La maison était dans un quartier ancien :
De la fenêtre , nous voyions le port , et avons ainsi admiré le feu d'artifice du 14 Juillet .
Le rez de chaussée était sombre, 
une enfilade de pièces au charme vieillot,
habité par les propriétaires , assez âgés dans mon souvenir ,
 Mais qui avaient une petite fille , 
fine et brune ,
 avec des nattes 
et de jolies jambes bronzées ,
chaussée de sandales de toile blanche  :
Anne-Marie .
Elles nous a accompagnés dans quelques unes de nos promenades, car étant fille unique , elle était assez timide et solitaire ,
et fut ravie de trouver deux compagnes de jeu pendant ces vacances.
Entre autres , je me souviens d'une visite de jardin zoologique et d'un perroquet ..
Il me semble que son père , Maurice Collignon,
était peintre 
( il me revient l'image de portraits qu'il nous avait montrés)
ou écrivain, 
ou les deux à la fois,
en tout cas féru d'histoire locale :
Il avait écrit un livre -jeunesse sur le corsaire à la jambe de bois




Que nous avons acheté ou qu'ils nous ont offert..
Il doit trainer encore quelque part chez mes parents dans la bibliothèque d'une des chambres réservées aux petits enfants..

Ce même été , 
il y eut une énorme tempête : les vagues sautaient par dessus le parapet du Plat gousset..
Très impressionnant!
Par mauvais temps , pas de leçons de natation.
Le casino ou il y avait un cinéma proposait 

 "Les vacances de Mr Hulot"









Nous y sommes allés , 
j'ai bien aimé,
mais c'est seulement bien plus tard que j'ai pleinement apprécié l'humour délicieux et nostalgique de ce film culte de Jacques Tati. 

Depuis ce temps , 
je nage occasionnellement ,
Mais n'ayant appris que la brasse non coulée,
Le crawl m'est complètement étranger
Je nageotte, pourrait on dire  
 Tantôt sur le ventre ,
 tantôt sur le dos ,
(bien meilleur pour les cervicales)
Avec une prédilection pour la nage sur le côté 
dite Nage indienne.
Mais je ne m'éloigne jamais trop au large...
Vous me direz que je pourrais aller à la piscine , en plus c'est bon pour les kilos...

Bon, je ne sais pas vous, 
Mais j'ai comme une petite faim !
il est temps d'aller manger.

Pas de littoral cette année ,
du moins cet été ..
Mais la campagne ardéchoise ressemble fort à la Provence! 


mercredi 29 mai 2013

Petite histoire pour Christian



 
 photo : Christian Cazals : courrier secret et petit sac rouge.....


" Le soleil la couvre d'un halo parsemé d'étoiles, c'est une enveloppe lumineuse, un chant fait d'éclairs, et son courrier, ses mots de tendresse font que le sac s'entrouvre. Pourquoi ne pas y plonger notre main?"
Christian Cazals sur "Miscellanées 2"


 Ayant lu ce court poème accompagnant la photo évocatrice,
j'ai laissé mon imagination broder un commentaire en suspens..


 ////////////////


  Ce petit sac rouge offert au hasard d'une promenade,
 dans cette ville éblouie de soleil,
 Elle l'avait toujours gardé , sans l'égarer , 
même après plusieurs déménagements .
  Elle y avait retrouvé , il y a deux jours à peine ,
Plié serré , dans la poche intérieure ,
un petit papier très fin , bleu pâle ,
 Avec ces mots griffonnés presque effacés :
 Rendez-vous Samedi à 17h, au café "Sergio" . 
 C'était en quelle année déjà??? 
Songeuse, elle avait lissé le billet doux et l'avait caché entre les pages du livre posé près du canapé , 
 Rouge lui aussi.

Aussi longtemps qu'elle s'en souvienne, 
elle avait toujours aimé le rouge ,
Tous les ROUGES , 
Avec une préférence pour celui,
 flambant et pulpeux ,
De la cerise éclatée entre les dents au bord des lèvres.

Ainsi éparpillée de pensées légères,
 elle traversa la ruelle et entra au bureau de poste.

La pluie avait cessé enfin ,
 le ciel essuyé tout bleu ,
Souriait , ses nuages enfuis.


dimanche 23 décembre 2012

Demain Noël



Juste quelques mots avant Noël:
Je vous souhaite de le passer entourés de ceux que vous aimez
Mais
Même à distance,
L'affection se partage sans compter,
Les pensées sont autant de baisers

Je vous embrasse donc!
 




 Ouf!
J'ai pu terminer à temps le duo tricoté..
Espérons que les tailles conviendront !








lundi 19 novembre 2012

Timbrée




Ctait dans une boîte
Vieille
En métal un peu rouillé
Plein de timbres

Plus personne  ne collectionne maintenant,

Faut de la patience
Décoller sur un petit coton juste mouillé,
Faire sécher doucement.
Et puis l'album avec les feuilles intercalaires
 translucides qui craquent .

J'ai du faire ça un jour  ,
Au temps où j'aurais préféré être un garçon.
Et les timbres ,
 c'était un truc de garçon
A l'époque.  






Et mélangé avec ,
Les deux photomaton ratées.

La fille elle savait pas faire.

Elle s'est levée au mauvais moment.
Elle n' avait pas vraiment compris les instructions.
Elle s'est trouvée toute con
Quand les 4 trucs sont sortis quand même de la machine !



J'ai gardé longtemps ce sweet violet .
Je l'ai fini dans mon atelier.
Plein de taches des mains essuyées.

Et le blouson en velours beige
 aux larges côtes
A capuche:
Elle le tient à la main 
Car elle ne voulait pas le porter pour la photo .

La natte si longue,
ça ne se fait plus depuis belle lurette .
Surtout qu'en plus
il y en a deux
Bien droites de chaque côté.









Au dessus, dans la partie coupée
il y a les lunettes rondes

En métal doré.



Timbrée la fille!


lundi 1 octobre 2012

Nos plusieurs vies










A la faveur de tris de photos 
j'ai retrouvé ce cliché vieux de 20 ans.
Et soudain les images se succèdent ,
Les strates de mes vies successives
Comme  une mémoire géologique.
Le visage ci dessus fut donc le mien,
A un moment donné. ...
Je l'avais oublié .

Il est toujours le mien
Malgré les  remous,
les incidents ,
les erreurs,
les marques du temps
en traits et plis,
pleins et déliés
Gravés à la surface
Depuis ces instants.

J'aime vraiment l'idée d'avoir eu,
Comme les chats,
Plusieurs  vies,
Pas 9,
mais peut-être bien 3 .....


C'est d'ailleurs dans mon cas
plus qu'une idée :
une réalité.


Changer de parcours,
Ne pas être là où l'on vous attend au tournant,
Sauter du train en marche
Choisir l'incertain
Pour échapper  au poids des jours tout tracés;
S'attirer les foudres
Essayer de rester debout 
Face au vent
Tenir bon
Pourtant,
Même avec des loupés ,
Pour les Aimés ,

Une priorité.




Avancer ,
Sans nostalgie ,



En pointillés,
A cloche pied,
A saute moutons,
Prendre  les raccourcis,
S'inventer des histoires,
Le cœur par dessus les moulins,

Il suffit de passer le pont.



Aujourd'hui ,
La rivière est plus paisible,
 Le paysage mouvant , coloré,
Et dans la barque,
depuis le temps,
Certains des Aimés 
 ont fait des petits!



Au dedans
Je suis toujours  
Cette fille au chat .



 Le prince charmant
le sait.


 
 



jeudi 20 septembre 2012

Laisser les animaux gambader



Je pars à la campagne quelques jours.....





Un endroit,
Une maison
Une famille..
Des animaux
De la musique
Un festin
Des retrouvailles..

 .
A bientôt!

 

mardi 4 septembre 2012

Dimanche soir avec Jane Eyre



J'aime aller au cinéma 
Même si j'y vais  
Assez souvent
Seule .
Car mes goûts en la matière
Ne sont pas forcément ceux de V.
( j'ai une prédilection pour les films lents et longs, 
pleins de rebondissements romanesques ,
 les intrigues un peu hermétiques, 
Et en VO si possible ) 
Ce n'est pas qu'il n'aime pas le 7ème art,

Mais le moment, l'heure ne correspondent souvent pas à ses activités.
Être prêt , 
Descendre le chemin,
Tout ça...

Alors je ne me formalise pas !
Et hop!
Franchissons le Rhône!

Plonger dans une histoire 
Même lorsque ce n'est pas une nouveauté,
Est toujours magique,

Les sœurs Brontë ...

Encore

Surtout 

Avant la rentrée....

c'est une friandise..



Film Jane Eyre


Cette nouvelle version est une délicieuse surprise














Et, concordance amusante,
Une version également britannique est au programme d'Arte
Ce jeudi 
Avec une critique assez favorable...
Je vais m'empresser de feuilleter ce nouvel opus...!


J'ai été si enthousiaste à mon retour,
que , piqué au vif, V. s'est aussitôt plongé dans la lecture du livre d'origine,
qu'il n'était pas sur d'avoir lu durant ses jeunes années,ce qui ne m'étonne qu'à moitié,
Ce genre de livre étant à l'époque  généralement réservé aux jeunes filles rêveuses et rougissantes;

Quelle assommante ségrégation!



En tout cas , je jubile en constatant à quel point il est captivé!



Voici ,pour vous donner encore plus envie ,
un document sur le tournage

Coulisses du tournage


Bonne soirée !



dimanche 22 juillet 2012

Michel Fontaine : Yoshka dans la chaleur d'Avignon







Yoshka ,
Son histoire oubliée
En forme de légende
et l'accordéon de Branko Harrabaci...

Sous les doigts de Michel....

Un moment hors du temps..







 Pour découvrir ,au Théâtre du Centre
( ex- Le Ring)
En Avignon
Jusqu'au 28 Juillet
Tous les jours à 10h 30

 Contact pour réserver:
Théâtre du Centre:
13 rue Louis Pasteur
84000 Avignon
tel:
06 50 40 20 81


Et aussi 


par ici , on peut réserver:

THEATRE DU CENTRE

Spectacle recommandé par Libé!
Donc vous pouvez y venir en confiance!









 Prendre une grande bouffée de nostalgie,
A l'écart des tonitruances médiatiques,






 Prendre l’Été pour ce qu'il est vraiment:

Une parenthèse privilégiée où faire des incursions dans l'imaginaire,

Se laisser faire par les raconteurs 

Et autres baladins merveilleux ,

Avec leurs mots simples
Et leur langue du pays d'avant



Les rues d'Avignon débordent d'affiches,
 Les festivaliers sont au taquet...





Et au milieu de ce tumulte ,
Yoshka aux longs cheveux défaits
Valse , valse ,jusqu'à l'oubli,

Sur cette musique 
Dont la mélodie vous accroche le cœur pour longtemps..





Et pour rester sur ces notes poétiques, découvrez, en cliquant sur ces liens:


 Et aussi



L'exposition que Michel a imaginée et réalisée, 
grâce au concours de plasticiens et artisans,
Pour rendre hommage à cet instrument magique.