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samedi 14 novembre 2015

Se taire ou dire







Je ne regardais pas le match hier soir, crevée, couchée assez tôt après tricotage  devant polar mollasson. aussi , j'ai mis quelques minutes à appréhender vraiment ce que j'entendais , éberluée, sur France Inter en préparant le petit déjeuner..
Maintenant, les commentaires se succèdent , la parole en cascade après les actes affreux , les spécialistes ,et  nous autres , la foule des témoins abasourdis , proches ou éloignés de cette situation de guerre interne déclenchée à nouveau ? Charlie est encore tellement à vif dans notre mémoire.
Que dire , que faire? 
Pour ma part , je n'ai aucun avis éclairé sur la question et je me garderai bien d'ajouter au brassage de blabla ( n'est-ce pas d'ailleurs ce que je suis en train de faire..) qui ne fait qu'amplifier la mousse .
A mon très petit niveau, local, rural , privilégié et protégé , je ressens essentiellement un accablement profond car ces attentats sanglants vont susciter à nouveau une défiance accrue de la part de la masse anonyme des "Français de souche franco-française " à l'égard des autres , vous voyez bien qui.
Et ça , j'en ai l'estomac carrément retourné:
 Je travaille depuis plus de quinze ans dans un quartier classé en ZEP , en y apportant la musique de tous horizons et de tous styles ,chansons , jeux instrumentaux aux enfants et aussi aux enseignants passionnés et investis dans cette école où j'adore aller . 
Alors, j'ai des frissons en me demandant comment les enfants vont ressentir ces évènements .
Quelle image mentale vont il intégrer de ce qui vient de se passer  , où est le bien où est le mal?
Quels discours vont il entendre et devoir absorber et digérer chez eux , en classe , autour d'eux , dans cette petite ville du déjà Sud  , très cool , et même plan-plan , mais où pourtant le FN fait à chaque scrutin , des scores inquiétants....Comment vont ils vivre le regard posé sur eux et leurs familles .

J'aime ce quartier, ces enfants , ces femmes  , ces grands jeunes adultes que j'ai connus petits .
 Nous vivons tous ensemble ici , et c'est ce qui est bon et beau .
La société est une mélange des saveurs et des cultures.

Deux témoins
 un poète et un musicien 

Adonis
et 
Abed Azrié

dont les voix courageuses 
sont un réconfort




 






















 

jeudi 15 octobre 2015

Au royaume de la Licorne



Ayant un peu plus de temps à disposition ,
je suis retournée flâner chez


Ma photo 

je connaissais bien son site 
FABULO
nous avions mené il y a quelques années , en 2010
un duo d'échanges photos 
où Shalimar tenait le tout premier rôle ,
voyez plutôt en cliquant ci-dessous:



Et j'ai découvert qu'elle avait ouvert ce nouveau blog,

où elle propose d'amusants jeux d'écriture ..
Peut-être serez vous titillés vous aussi!
Le dernier en cours propose, jusqu'au 21 octobre
d'écrire en utilisant une lettre ou un son 
 
le son "F", le son "M",
le son "L", le son "CH"
le son "J",  le son "K" (c, qu, k...)
le son "P" ou le son "V"

 De fil en aiguille, je me suis laissée prendre à cet exercice fort plaisant !!
Vous pourrez lire les textes publiés sur Filigrane

Le froid montre sons nez
Première flambée dans le poêle! 

Et J'ai une douce pensée pour Pépito,
 le chat de Laure et D.,






lundi 8 juin 2015

OLAFUR ARNALDS



Découverte 
Absolument magnifique
Ce compositeur 
m'enchante







 Cette vidéo a inspiré ce magnifique poème à  
La Licorne
du blog 
 FABULO 



J'ai vu l'enfant courir...
j'ai vu l'enfant jouer...
Et j'ai compris d'un coup ce qu'il fallait comprendre...
Et j'ai vu, ô merveille, tout ce qu'il fallait voir...
Et le peu qu'il fallait pour faire fleurir l'avenir :

Respirer en silence dans le souffle du vent
Regarder sans frémir tomber les murs anciens
Accueillir joyeusement toutes les miettes du temps
Ne plus lâcher, enfin, les fils de son destin...





Et voici le lien du site de ce musicien talentueux





A bientôt















lundi 11 mai 2015

Jardin de Mai


Le jardin explose de toutes parts..












 Ce chèvrefeuille s'est invité sans façons..
Jamais je n'en ai planté!!
Mystère...








 Un petit
ou plutôt énorme nouveau!!
cet ail décoratif du plus bel effet
Je ne regrette pas !










 Les iris toujours prolixes ...






 Les pivoines pointent ....

















visionné hier, ce film assez déroutant
Mais très intense
J'ai beaucoup aimé..
Et La musique frémissante m'a happée..










samedi 2 mai 2015

L'avenir du chasseur de sons serait il dans les nuages....








Suis allée rôder sur Spotify...
Musicme
etc....

Rien de bien folichon mis à disposition 
en matière de petits trucs légers et maniables ,
pratiques,

Plus possible de musarder à l'aventure pour pêcher le truc improbable qui va vous harponner l’ouïe..
Quant à le mettre illico en illustration de vos divagations du jour:
,Bernique!

Oublions!

Alors..
quoi faire pour assouvir notre appétit ?

Bidouiller soi-même
Fouiller sa bibliothèque sonore, extraire les pépites persos.
Heureusement que Soundcloud existe
Merci aux nuages
A  cet espace encore libre.

 J'ai découvert cet artiste il y a bien plus de 10 ans.
 et en ai précieusement gardé le cd
offert par mon fils qui était alors étudiant à Marseille,
Il avait entendu sur une radio locale
 Cet univers musical étrange et vaste .

J'aime toujours autant..



dominique barthassat Ecliptique



Dominique Barthassat
Compositeur et pianiste



Originaire de Genève (Suisse).
 Après des études au
Conservatoire de Musique de Genève, Dominique
Barthassat étudie la composition par ordinateur dans les
ateliers de Iannis Xenakis à Paris. 
Auteur d’une approche
pédagogique multidimensionnelle de la musique, il fonde,
en 1987, le CEM-Centre Exploration Musicale où il enseigne
ses techniques dans un dispositif pilote inédit.
Pianiste innovateur, il est invité à donner un concert au
Parlement indien à New Delhi, en 1997, depuis lors il développe cet échange musical « Orient-Occident » avec des musiciens indiens.
Dominique Barthassat a composé différentes œuvres de
spatialisation sonore, pour voix et instruments, des
Environnements Sonores en dialogue avec l’art et l’architecture notamment pour divers musées européens. 
Il a également composé des musiques pour le cinéma, la vidéo, le théâtre et la danse.
Créateur du concept des Architectures Sonore, inauguré à
TELECOM 99, 
Dominique Barthassat développe
ses « Instruments de Navigation Sonore » (qui projettent
les Architectures Sonores) tels que: Enveloppe Sonore,
Ecran Sonore, Puits Sonores, Décor Acoustique, Design
Sonore, Icône Musicale (logo sonore) – qui peuvent s’appliquer aux domaines de l’art, de la culture, de l’éducation, de l’environnement, du tourisme et de la communication.
Par ailleurs, il finalise l’écriture « d’Opus Anello », opéra
multidimensionnel in-situ 
ainsi qu’un décor sonore pour le
musée d’histoire naturelle de Fribourg.

 Découvrir un peu plus..;

Et encore ... 



lundi 12 janvier 2015

La Musique sauvera le monde....



Pour Drora
qui adorait ces musiques mélangées,
Pour tous les enfants du monde

Dansons 
Dansons
Pour conjurer la haine.
 

Jouons , chantons,
 pour ne pas sombrer

Pour toutes les couleurs chatoyantes
Qui font notre humanité













vendredi 9 janvier 2015

Vie après




Dessin à chaud,
 par mon fils Thomas,
Graphiste à Nîmes

"Attention au retour de crayon !"












Et ce très émouvant témoignage


Lu sur le site de

TELERAMA

J’étais Charlie

  • Marie-Hélène Chabert





Ouvrir des lettres d'amour (ou d'insultes), discuter économie avec Bernard Maris, adopter une chatte, découvrir le métier qu'elle exerce actuellement à "Télérama"… Notre collaboratrice a vécu tout ça à “Charlie Hebdo”. Elle se souvient.

Il y a tout juste une semaine, chez mes parents, mon père ressortait une carte postale sur laquelle figurait mon visage, croqué par le dessinateur Bernar, au milieu des visages de tous les gens de Charlie Hebdo de l'époque (1995) : « Je suis retombé là-dessus. Tu as des nouvelles de Charlie ? » 
Puis, dans le train qui me ramenait à Paris, alors que je lisais Pour en finir avec Dieu, du biologiste darwiniste Richard Dawkins, j'y relevais la mention du journal français qui avait eu le courage de publier les caricatures danoises de Mahomet.
Rétrospectivement, en ce 7 janvier…

C'est vrai que je l'ai un peu perdu de vue, Charlie, tout ce temps, vingt ans depuis mon arrivée là-bas, à la faveur d'une conférence de rédaction où j'avais demandé à être conviée, dans les locaux de la rue Abel-Hovelacque, derrière la place d'Italie, fervente lectrice du nouveau Charlie depuis 1992. Val m'avait dit ce jour-là qu'ils cherchaient quelqu'un pour faire un peu tout (secrétariat, standard, abonnements), et j'avais insisté pour avoir le poste et être des leurs, démissionnant de mon boulot d'alors. J'y suis restée jusqu'en 1997. J'ai vécu avec eux les grèves de 1995, les premières mairies FN, la mort de Mitterrand.








« Dédicace à l'habitante du 5e que j'étais alors, sur la page de garde
du livre Revoir Paris », Marie-Hélène Chabert.



Charlie c'était les déjeuners de l'équipe au restaurant Chez Paul, rue de la Butte-aux-Cailles, les cafés au Réveille-Matin, avenue des Gobelins.
Charlie c'était les lettres d'insultes, et parfois d'excréments, qui arrivaient au courrier.
Charlie c'était aussi les lettres de gratitude, les lettres d'amour.
Charlie c'était le bonheur de découvrir le journal imprimé le lundi matin.
Charlie c'était Philippine, la chatte que j'avais adoptée par l'entremise de Luce Lapin, qui s'occupait de la rubrique SPA.
Charlie c'était Gérard, le vendeur à la criée de la rue Mouffetard, qui venait chercher ses paquets de journaux toutes les semaines.
Charlie c'était la conférence de rédaction du mercredi et l'affichage de tous les dessins prétendant à la couverture, puis le choix débattu, avec passion, rires, discussions autour de celles « auxquelles on avait échappé ».
Charlie c'était les discussions avec Bernard Maris sur Keynes ou Marx, car je venais de terminer des études d'économie.
Charlie c'était là que j'ai découvert le métier que j'exerce aujourd'hui, la correction ; à ce moment-là que j'ai décidé de m'y former ; là qu'on s'est montré très compréhensif pour m'accorder un congé formation, m'aidant à accomplir ce dont j'avais envie, simplement parce que j'en avais l'envie, et le droit.
Charlie c'était Gébé, Cavanna, Boujut, Pasquini, tous morts depuis, eux aussi.
Charlie c'était Luz le surdoué, le gamin, le facétieux.
Charlie c'était quand on a « sauté sur Toulon », fin 1995, prenant tous le train pour le Var pour une rencontre et la présentation d'un livre en réaction à l'élection du FN Le Chevallier à la mairie.
Charlie c'était la pétition lancée pour faire interdire le Front national.
Charlie c'était Charb, d'une intelligence exceptionnelle, une intelligence sobre, sans esbroufe, d'une droiture sans faille. Charb qui disait : « Comment peut-on être fier d'être français ? Fier d'être corse, ou breton, ou ci, ou ça ? Comment peut-on être fier de quelque chose qu'on n'a pas choisi ? »
Charlie c'était parce que j'étais fière, moi, de les avoir choisis.



///////////

Et moi qui adore Cat Stevens
J'espère ...


 Wild World by Cat Stevens on Grooveshark


 

mardi 16 septembre 2014

Les Filles rouges à ELLEZELLES , en Belgique, Dimanche 21 septembre





foire petit format 2014.jpg



 Je vais rejoindre Samedi
la bande des copains 
des deux compagnies 
"Bons Enfants" et "Cacahuète"
Regroupées sous :


 le week-end prochain
pour participer à cette fête villageoise qui promet d'être bien joyeuse
voyez plutôt: 

FOIRE VILLAGEOISE D'ELLEZELLES 

L'automne est encore radieux malgré les orages passagers 
et j'espère que nous aurons un temps idéal!

Je vous invite donc à venir nous rejoindre  sur cet évènement,
si vous habitez la région!

vous trouverez

ICI 

Un historique surprenant sur ce lieu mystérieux
qui est également dédié aux 

sorcières...
avec une fête annuelle!
De quoi enflammer un peu plus l'imaginaire de Crouk! 






mardi 22 juillet 2014

Une Artiste à découvrir au château de Voguë , en Ardèche









Actuellement , et ce , jusqu’en Novembre 2014,
Le château  de Voguë expose les œuvres d'une artiste
Hors du commun,

Marie Morel

Marie Morel


   Marie Morel

Exposition à Voguë Du 29/06/2014 au 02/11/2014

Marie MOREL est une peintre  née en 1954 à Paris. Elle vit et travaille depuis 1988 dans un petit village calme et isolé de  l'Ain. Élevée dans un terreau familial propice à la création, elle dessine, peint et écrit depuis l'enfance. Artiste libre,  elle ne se veut d'aucune école et refuse qu'on la rattache à l'art brut ou l'art singulier.
 
Sa démarche est classique. Sa peinture vient d'un instant de vie, d'un vécu, d'un choc émotionnel. Elle travaille sur de grand formats à l'acrylique et au pastel gras  et peut intégrer toutes sortes de matières  à son tableau mais la peinture reste l'élément essentiel de l'harmonie du tableau. Elle joue de la sorte sur l'aspect de surfaces, sur des contrastes, des oppositions... Ses tableaux saturés  fourmillent de détails et offrent différents niveaux de lecture.
 
"Il y a  trois approches. D'abord la vision de loin, ce sont de grands monochromes, à la limite proches de beaucoup d’œuvres contemporaines. Puis une vision à mi - chemin qui donne la sensation d'un rythme très soutenu, on aperçoit et reconnait des formes, des détails réalistes. Enfin, plus on s'approche, plus on plonge vers l'intérieur de l’œuvre, plus on accède à une troisième vision, on est dans le détail intérieur, on entre vraiment dedans, dans l'intimité de l’œuvre ."
 
 



 Tableau de l'artiste peintre Marie Morel




L'espace intérieur

 

 

 

 

 Marie Morel. Non à la guerre

 

 

 

 

 

 

Vous pouvez Cliquez ci dessous et découvrir

 Le site de Marie Morel

 

 

 

Très récemment, l'une des œuvres de Marie Morel a fait l'objet d'une interdiction , dans la ville d'Aubagne:

publié le 16/06/2014 à 12:08 Vu 26411 fois :

 Jugé  pornographique, le tableau provoque l’annulation d’un festival

"L'Amour", de Marie Morel, peintre installée au Petit-Abergement, a été jugé « pornographique » par l’adjoint à la culture d’Aubagne qui a décidé d’interdire sa présentation dans le cadre de la 13e Biennale d’art singulier. Pour protester, ses organisateurs ont décidé purement et simplement d’annuler le festival !

(Photo Maurice Fanciello)
(Photo Maurice Fanciello)


« Ce qui nous rapproche nous mène loin. » La devise de la municipalité d’Aubagne a le mérite de la poésie. En revanche, elle ne vaut pas pour le Festival international d’art singulier de la cité provençale dont la 13e édition, qui était programmée pour juillet, vient purement et simplement d’être annulée par ses organisateurs. Ceux-ci envisagent même d’émigrer dans une autre ville pour les prochaines éditions.

« L’Amour » pornographique ?

En cause, la décision du tout nouvel adjoint à la culture d’Aubagne d’interdire l’exposition, dans le cadre du festival, de deux œuvres qu’il qualifie de « pornographiques ». L’une d’entre elles, « L’Amour », est signée de Marie Morel, une peintre qui a installé voilà quelques années son atelier au Petit-Abergement. L’autre œuvre en accusation est une installation autour d’une « machine à accoucher » présentée par un artiste plasticien.
L’élu à la culture d’Aubagne, Philippe Amy, un gestionnaire immobilier jusqu’ici secrétaire de l’association Lakanal (qui organise des activités pour les retraités d’Aubagne), n’a pas du tout apprécié ces deux créations. Il n’a pas donné suite à nos demandes d’entretien, samedi, mais il s’est expliqué auprès de nos confrères de La Provence pour se défendre de toute censure et déplorer la disparition de la manifestation.
« Nous sommes éclectiques dans notre culture, mais en parallèle, nous avons le souci de proposer des expositions qui peuvent s’adresser à un large public. Ces deux œuvres présentent un caractère pornographique. Elles posent problème. On nous a opposé le droit à la création artistique pour ne pas dire “censure”, mais moi je lui oppose la thèse du bon sens et du droit à l’enfant. » 

Manifestement, l’élu n’a jamais entendu parler de « L’Origine du monde » selon Courbet.

Dans son Bugey d’adoption, Marie Morel ne comprend pas l’attitude de l’élu UMP. « Très souvent, les organisateurs d’expositions me demandent gentiment et avec courtoisie de ne pas mettre de tableaux érotiques (ils aiment mes œuvres mais ne veulent pas avoir de problèmes, ils en sont désolés), c’est une censure douce, déjà terriblement triste et cela m’arrive pratiquement à chaque exposition depuis cinq ou six ans.
Mais pour Aubagne, les organisateurs de l’exposition voulaient mes tableaux érotiques, ce qui est magnifique, et tout était prévu ! Et là, c’est la municipalité qui s’y oppose très durement, c’est encore plus violent ! »
« L’Amour » et son explosion de corps naïfs en situation amoureuse a déjà été présenté, notamment en Ardèche, poursuit-elle : «Simplement, les organisateurs font attention à écarter les enfants des écoles de ces peintures pendant les visites. »
La conclusion, nous la laisserons à l’écrivain Jean-Pierre Milovanoff qui note fort justement dans son roman « Terreur grande » : 
« Comme les puritains et les fanatiques, les censeurs retrouvent leurs propres obsessions dans tout ce qu’ils jugent. »

 (Photo Maurice Fanciello)



 Vous y trouverez également 
une Pétition à signer si vous le souhaitez .

Cette artiste , que je ne connaissais pas , 
me touche particulièrement 
car elle est aussi musicienne  ( piano et violoncelle)



mercredi 7 mai 2014

Quand Gégé nous parle d'Art ..superbe interwew



Ce grand escogriffe
qu'on adore ou déteste 
ou les deux à la fois 
Tant ses coups d'éclat sont ces derniers temps carrément limites..

Mais comment rester insensible à ce talent d’instinct animal
qui nous le rend  indispensable
Dans le paysage artistique actuel 
ou réussite rime avec classieux correct..

Alors notre Gégé
même gravos imbibé tombé du scooter,
même à côté de ses pompes,
malgré le ridicule costume d'Obélix,
Malgré le pinard et la bouffe,
 malgré ses improbables engouements politiques ,
Son évasion vers les balalaïkas de Poutine
(On a d'ailleurs vraiment envie de lui retourner une ou deux gifles pour la peine, quel gâchis !!)
 
Et bien oui
Je l'aime inconditionnellement
Cet ogre terrifiant au cœur d'enfant

Un vrai poète 
A la démesure d'anthologie.. 







mercredi 30 avril 2014

Au Royaume de la Salamandre...




J'attends demain la visite de l'un de mes frères qui est un grand amoureux de la nature
Il a d'ailleurs fondé une association qui a pour mission de sauvegarder le patrimoine écologique de son village et environs:


BETHISY NATURE 


lors d'une de ses récentes promenades en forêt 
il a fait cette rencontre insolite...



photo E Mottelet



photo E Mottelet



vidéo E mottelet



Et Découvrir

ICI 

Une revue pour les curieux de Nature
qui porte aussi ce nom
"La Salamandre"



dimanche 2 février 2014

J'aime Garouste







Dans l'élan de cette reprise des pinceaux ,
et en lisant entre les lignes
la toute dernière lettre fleuve de 
 BEN:
 [Newsletter Ben] CHERCHEZ LA PERLE‏-

qui le cite à un moment ,
 dans son déluge agaçant  
Que j'ai maintenant tendance à zapper 
et balancer illico au 

 GOULP



 Car trop , c'est trop!
le mec champion du nombril!


........."France CULTURE
J’ai entendu Frédéric Roux hier dire 
qu’il ne supportait pas le théâtre « ils crient trop
je préfère un bon match de foot »
Il ne lui ont plus passé la parole. 
Garouste était très bien à la radio aussi 
On sent qu’il adore parler ...... 
 
 
Je me suis dit soudain, pêchant ce nom au milieu du bric à brac
Mais  oui, Garouste!

Pourquoi je ne pense pas un peu plus 
 à regarder les peintures de Garouste!
Au lieu de lire ce fichu vieux Ben

Je me propulse alors avec la souris sur les images trouvées sur le net
concernant tout le travail de Gérard Garouste

 comment avais je pu oublier
 à quel point cette peinture me touche...




Ilona la colombe




son livre aussi , dont j'avais entendu parler,
et que j'ai très envie de lire






Vous pourrez aussi trouver un article  
comportant une iconographie conséquente

ICI  

Sur un blog découvert au hasard de mes recherches,
celui d'une belle personne
d'Outre atlantique,
et qui plus est..
Une sorcière !




mercredi 22 janvier 2014

Argh! Petit coup de grogne vespéral



Je vous mettrai demain  
La vidéo sous format
Youtube 
de "GHOST in BLUE"
Car 
grosse déception:
La qualité de restitution live 
de la soirée 
fut carrément nulle,
Les projections des participants à distance n'ont pas été réellement retransmises ,

J'en suis désolée pour les organisateurs 
de ce happening genevois
mais 
A part des images chahutées
 floues
 d'une soirée branchée 
potache
 mollement
énervée
 pas vraiment intéressante ,
sauf pour les gens présents sur place,
Il n'y avait pas grand chose à voir sur cette 
IswatchinyouTV.....
de plus avec 1h de retard  !!


Dommage pour tous ceux qui ont bossé pour créer 
spécialement pour cet évènement....  
Et qui ont du être salement frustrés 
Par les mauvaises conditions de présentation de leur travail
Bon, 
Sourions!
Avec tout ça , je vais me coucher!
J'ai sommeil
bonne nuit!






mercredi 23 octobre 2013

Un livre et feuilleton culte de mes jeunes années :" Adieu mes 15 ans "









Vous devez bien vous esclaffer
( surtout les "Blogbos", je les entends même d'ici ) :
Passer de la scène électro - ciné alternatifs  et décoiffants à un feuilleton mignonnet des années 70...
Mais voilà , c'est la faute de cette chère




Son dernier billet , avec sa musique , 
son sujet sur les Mlles etc..
Je me suis souvenue soudain , 
je ne sais pourquoi ,
de  dette série qui fit mes délices à l'époque où..

Voici quelques infos trouvées en partie sur

"Coucoucircus"
un site forum sur les génériques télé



Comme son titre l'indique, il s'agit des aventures d'une jeune fille. C'est la fin des années 50, Fanny (Patricia Calas), a 15 ans et habite Boulogne sur Mer. .....
La série (créée par Pierre Dupriez) est une adaptation d'un roman de Claude Campagne :
" Adieu mes 15 ans"
 (Après quelques très rapides recherches, il s'avère qu'en fait Claude Campagne 
 n'est pas une personne mais deux ! 
 Derrière ce nom se cachent en fait un couple d'écrivains, Ce que je découvre seulement aujourd'hui .


 Brigitte Dubreuil publia en 1960 le best-seller «Adieu mes 15 ans» écrit avec son mari sous le pseudonyme de Claude Campagne. 

Jean-Claude Dubreuil.jpg 


Ce livre, édité dans la collection "Rouge et  Or - Spirale "
va être vendu à 650 000 exemplaires, dont 450 000 en France.
 Ce best-seller fit aussi l'objet d'une adaptation télévisée à succès.
 
La toute première diffusion de la série remonte au 4 Mai 1971 sur la première chaîne de l'ORTF (19 épisodes de 13 minutes).
C'est la période où je l'ai visionnée.
Celà ne faisait pas si longtemps que nous avions la télé à la maison
j'avais tout juste 15 ans moi aussi..

La musique est signée par l'immense Georges Delerue qui en dehors de son immense carrière cinématographique a eu l'occasion de travailler à de nombreuses reprise pour la télévision
 (Jacquou le Croquant, Arsène Lupin Joue et Perd, Les Chevaux du Soleil -  La Cloche Tibétaine, etc...).











deux autres raretés dénichées sur youtube
que je suis ravie de vous faire partager
j'espère que les messieurs ne vont pas glousser sous cape!
la prochaine fois je vous ressortirai Zorro et Lagardère!
















lundi 27 mai 2013

Messages indésirables







J'ai constaté depuis plusieurs semaines 
la présence de très très nombreux commentaires en anglais sur d'anciens messages de ce blog,
complètement détachés du sujet de celui-ci,
et proposant des liens commerciaux.
J'ai passé hier un long moment pour les supprimer,
 car en vérifiant le contenu de la boite SPAM,
 il y en avait bien plus que je ne pensais!!
Une véritable invasion.!!
 
Aussi, vous comprendrez sans peine que j'aie désormais activé 
la modération des commentaires,
 
Mais , rassurez vous , vous ne subirez pas l'épreuve rédhibitoire
De l'écriture copiage de mots abscons .
 
Votre commentaire s'affichera lorsque j'en aurai pris connaissance au préalable....
 
Ah là là !
 
Bonne journée!
Et merci de venir encore vous promener par ici!!
 
 

dimanche 24 mars 2013

Un peu plus sur TATANKA IYOTANKA....



Suite aux commentaires des uns et des autres ,
j'ai eu envie d'en savoir plus 








J'ai trouvé l' article copié ci-dessous
ICI 




Sitting Bull, chef Sioux
Sitting Bull, « homme médecin » respecté, fut le dernier grand chef Sioux à s’élever contre les Blancs Américains. Il mourut assassiné dans une réserve.


Le grand chef Sitting Bull (Taureau Assis, son nom indien étant « Tatanka Iyotanka ») serait né aux alentours de 1834, à Grand River dans l’actuel état du Dakota du Sud. Très vite, il ressent très mal l’invasion des terres Indiennes par les colons américains et participe aux guerres des plaines en 1860 en menant un raid contre Fort Bufford en 1866.
Nommé chef et chaman-médecin des Sioux Hunkpapas en 1867, il est forcé, deux ans plus tard, d’accepter le déplacement de son peuple, cela étant prévu au traité de Fort Laramie en 1868 dans le Wyoming. Mais les Américains ne respectent pas le traité et veulent réduire les espaces alloués aux Indiens. Sitting Bull provoque alors le soulèvement des Sioux qui sont rapidement rejoints par les Cheyennes.
C’est la grande bataille de Little Big Horn, un cruel échec pour les armées américaines. Pendant la bataille, Sitting Bull est resté à l’arrière car en tant qu’ « homme médecine Lakota », il est chargé de soigner les blessés. Ce sont deux chefs de guerres qui mèneront les guerriers : Crazy Horse et Gall pour protéger les droits des tribus.


Poursuivi par l’armée, Sitting Bull est obligé de s’enfuir au Canada pour éviter les représailles mais accepte de se rendre et de rentrer aux Etats-Unis en 1881. En effet, l’hiver est particulièrement dur cette année-là et le reste de la tribu se meurt. Ayant rendu les armes, le fier Sitting Bull, le dernier Sioux à capituler face au gouvernement américain, est alors emprisonné durant deux ans. Relâché, il accompagne alors Buffalo Bill en 1885 dans son Wild West Show, une grande tournée à travers l’Europe.
Revenu aux Etats-Unis, Sitting Bull est envoyé dans la réserve indienne de Standing Rock, entre le Dakota du Nord et le Dakota du Sud. Alors qu’il participe avec son fils « Pied de Corbeau » à la Ghost Dance, culte anti-blanc, des membres de la police indienne l’arrêtent et l’assassinent ainsi que son fils le 15 décembre 1890. Le grand chef n’aura pu être mis au courant du massacre de Wounded Knee.
On retient de lui cette phrase : « Je voudrais savoir les raisons pour lesquelles vous circulez sur nos pistes. Vous effrayez les bisons, et nous avons besoin de chasser dans ces endroits. Je désire que vous vous retiriez de ce pays. Si vous refusez, de nouveau je vous combattrai. Je veux que vous abandonniez le terrain avec toutes vos affaires et que vous retourniez en arrière. Je vous parle en ami »… Les « amis » ne repartiront jamais…



Une vidéo bien faite
Qui relate la bataille de Little Big Horn






Et une autre qui raconte la résistance Kiowa







Après ces documents
Je regarderai les" Western" avec un tout autre regard .....


et voici le livre que j'ai beaucoup aimé,
Qui se passe à cette époque,
 




 En 1839, un jeune médecin idéaliste, Rob J. Cole, s'est installé dans l'Illinois, aux limites du territoire des Indiens Sauks, persécutés, et à qui il vient en aide. Il s'éprend de l'Indienne Makwa, que sa condition de shaman voue à la chasteté. C'est elle qui donnera ce surnom au fïls que Rob aura d'une autre femme, Sarah  Puis elle sera sauvagement assassinée. Rob, mobilisé dans la guerre de Sécession, est contraint de partir et ne reviendra pas. Malgré le handicap de sa surdité, son fils Shaman entreprend des études de médecine afin de poursuivre l’œuvre de son père. C'est à lui qu'il incombera de venger la mort de Makwa.


Je vous le recommande!