Imaginons un Dimanche,
Il ne fait pas encore très chaud , mais c' est déjà le Printemps ,
Ils sont partis vers la montagne , mais pas vraiment.
C'est pour un anniversaire,
La route après avoir quitté la ville , serpente , monte et descend ,
Avant de remonter encore , étroite , longeant des maisons ,
Neuves , vieilles , accrochées aux prés, certaines dans de beaux jardins.
On leur a dit: Midi, pas plus tard , car après déjeuner : promenade .
Mais l' heure est ce qu' elle est , c' est à dire , ici au sud , plutôt élastique ,
Et puis , il y a eu ce détour imprévu avant Le Teil,
Obligés de passer le long des anciens locaux Lafarge, murés , désaffectés,
Ville fantôme ....
Plaisir de revoir des têtes connues
En découvrir d' autres ,
Fêter l' heureuse Héroïne du jour,
De toutes façons , il ne sont pas les derniers,
Deux chiens invités eux aussi font les fous,
Arrivés avec leurs maitres retardataires,
Et le grand gaillard du Mézenc est devenu auguste patriarche
A la barbe fleurie!!
Mais toujours aussi jovial!
Vient ensuite quelque musique , après le succulent dessert :
Un choix très coquin de chansons licencieuses,
Tirées d' un ouvrage illustré par Dubout!!!
Ce n' est pas banal!!
Et plutôt imprévu!!
Auparavant, durant les agapes-raclette,
Le maitre de maison , en verve de facéties
Joue à se faire des cataplasmes sur le visage avec des lamelles de jambon cru,
Tout en distribuant à la ronde une collection de chapeaux!!
On se croirait presque chez Prévert!!
Hélène, exquise vieille dame, esquisse un pas de danse,
Et le ton est donné pour un intermède
Où l' assistance rivalise d' entrain pour chanter et jouer.
La promenade serpente ensuite entre les pins,
Au passage du petit ruisseau , on constate qu'un des deux chien a disparu,
Parti renifler des pistes inconnues ...
Il sera retrouvé au retour,
Perplexe à la croisée des chemins.
La fraicheur tombe ,
Le thé , bienvenu,
Ils redescendent dans leurs vallées,
Après avoir rangé scie et autres instruments
Dans leur char vert,
Salut à la compagnie de cette maison!
Et Bon Vent au périple de plusieurs mois
De leur ami amateur de chapeaux!
Que la marche , le nez au vent
Sur les rivages de l' Ouest,
Soit propice à sa rêverie
Et aux envolées poétiques
A bientôt
Pour les récits pittoresques!
Il ne fait pas encore très chaud , mais c' est déjà le Printemps ,
Ils sont partis vers la montagne , mais pas vraiment.
C'est pour un anniversaire,
La route après avoir quitté la ville , serpente , monte et descend ,
Avant de remonter encore , étroite , longeant des maisons ,
Neuves , vieilles , accrochées aux prés, certaines dans de beaux jardins.
On leur a dit: Midi, pas plus tard , car après déjeuner : promenade .
Mais l' heure est ce qu' elle est , c' est à dire , ici au sud , plutôt élastique ,
Et puis , il y a eu ce détour imprévu avant Le Teil,
Obligés de passer le long des anciens locaux Lafarge, murés , désaffectés,
Ville fantôme ....
Plaisir de revoir des têtes connues
En découvrir d' autres ,
Fêter l' heureuse Héroïne du jour,
De toutes façons , il ne sont pas les derniers,
Deux chiens invités eux aussi font les fous,
Arrivés avec leurs maitres retardataires,
Et le grand gaillard du Mézenc est devenu auguste patriarche
A la barbe fleurie!!
Mais toujours aussi jovial!
Vient ensuite quelque musique , après le succulent dessert :
Un choix très coquin de chansons licencieuses,
Tirées d' un ouvrage illustré par Dubout!!!
Ce n' est pas banal!!
Et plutôt imprévu!!
Auparavant, durant les agapes-raclette,
Le maitre de maison , en verve de facéties
Joue à se faire des cataplasmes sur le visage avec des lamelles de jambon cru,
Tout en distribuant à la ronde une collection de chapeaux!!
On se croirait presque chez Prévert!!
Hélène, exquise vieille dame, esquisse un pas de danse,
Et le ton est donné pour un intermède
Où l' assistance rivalise d' entrain pour chanter et jouer.
La promenade serpente ensuite entre les pins,
Au passage du petit ruisseau , on constate qu'un des deux chien a disparu,
Parti renifler des pistes inconnues ...
Il sera retrouvé au retour,
Perplexe à la croisée des chemins.
La fraicheur tombe ,
Le thé , bienvenu,
Ils redescendent dans leurs vallées,
Après avoir rangé scie et autres instruments
Dans leur char vert,
Salut à la compagnie de cette maison!
Et Bon Vent au périple de plusieurs mois
De leur ami amateur de chapeaux!
Que la marche , le nez au vent
Sur les rivages de l' Ouest,
Soit propice à sa rêverie
Et aux envolées poétiques
A bientôt
Pour les récits pittoresques!
Hi, it's a very great blog!
RépondreSupprimerI could tell how much efforts you've taken on it.
Keep doing!
Rhô, avant le Teil ? Cruas ? ou Viviers ? Je sais qu'à Cruas il y Lafarge à flanc de montagne avec le gros tuyau qui traverse la route... et puis il y a la Centrale avec l'enfant au verseau :)
RépondreSupprimerJ'ai vécu 20 ans à Le Teil, sur la colline, tout en haut de la colline et je pouvais admirer les lumières de Montélimar les soirs d'été !