Hier, temps propice...
Pas de vent
Pas de pluie
Le moment idéal
Les deux énormes tas
Dans le pré aux poiriers:
Urgent de les faire fondre,
Avant que les ronces ne s'y mettent
Le chevalier V en armure rouge
Se voit secondé de manière imprévue
Par P , notre baladin fort en muscles, de passage en ces lieux pour le week-end :
En un éclair, branchages, roseaux sont transportés sur la montagne embrasée..
Les deux acolytes ont fort à faire pour contrôler la combustion,
Rassembler les débris rougeoyants,
Usant de leurs râteaux comme lances moyennageuses,
Ils sont les grands maîtres du Feu
Étant partie quérir la pitance du soir au village voisin,
Je ne suis revenue que bien tardivement
Pour admirer la tâche accomplie..
Dans le soir tombant,
Les braises crépitent
Le brasier de Janvier
Envoie encore quelques étincelles vers les premières étoiles.
Pétillements... Cré-pitement... plonge le rateau- l'amas rougeoyant.
RépondreSupprimerUne grande chaleur dans nos cœurs.
Où comment transformer un geste banal en gerbe d'étincelles dans les yeux des grands enfants que nous sommes. Merci Crouk, c'était très beau!
RépondreSupprimerCélestine, est ce que tu as encore des exemplaires de ton livre ???
RépondreSupprimerje te maile illico
bises!
Christian, je t'envoie , ET CETTE FOIS C'EST SUR!!! la recette de deux petits gâteaux en une!! à tout de suite sur ta messagerie!!
RépondreSupprimerMais c'est idéal pour venir se réchauffer, il fait si froid ce soir !
RépondreSupprimerLes feux d'hiver... quelle merveille; à la tombée du jour on les voit dans les bosquets... magiques et inquiétants...
RépondreSupprimerP
Mon mari choisit souvent le jour de Noël pour brûler le tas de l'année.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup de dessin de chien fait sur paint.
Franchissant les limites
RépondreSupprimerLe brasier tel une mite
A dévoré qui l'eût crû ?
La maison du père Landru.
Mo ra li té :
Tel es frit qui croyait cendres.
Un billet chaleureux qui me rappelle les feux dans les vergers, après la taille !
RépondreSupprimerPrendre grand soin de son jardin
RépondreSupprimeret transformer le labeur
en chaude journée d'hiver !!!
Stéphanie:
RépondreSupprimerje suis sure qu'à l'heure qu'il est ta prairie doit frissonner sous la neige..
Pomme:
RépondreSupprimeroui, j'ai aussi des souvenirs de ces fumées odorantes , semées aux lisières des champs de mon enfance.
Berthoise:
RépondreSupprimermerci, mais ce petit dessin maladroit fait sous le coup de l'émotion n'est pas bien terrible.
Andiamo:
RépondreSupprimersi bien tourné!!: une fable express pleine de feu!!
Gine:
RépondreSupprimerL'odeur des feux de branches , j'en raffole !
Christyn:
RépondreSupprimerTu sais , ce n'est pas un jardin , mais des champs ... alors on fait comme un peu , mais ce n'est pas très "léché" c'est le moins qu'on puisse dire!
dis donc ce beau brilot
RépondreSupprimerle mail est reparer
je remarque que depuis quelques temps ona des pub entre deux
le billet et la commentaire
çà te rapporte un peu
car ainsi ce n'est pas gênant
dis moi sur mon blog
merci