Rien n'affleure à la surface des choses
Un silence étal
Des résonances assourdies de métal doux
En sons incurvés
Captifs du désir ténu.
A la croisée des mondes
Le toucher pâle
Des étendues
L'air respiré juste laiteux
Les bras du vent immobile
Étreignent la poussière du temps .
Glisser les doigts
dans la fente,
Écarter
Bleu
Toucher
Gris
Les ombres s'effacent.
:o))
RépondreSupprimerP
Merci, Pomme!!!
RépondreSupprimerdes mots
RépondreSupprimeremplis
de
musique !
Vibrations de la lumière et des mots ... merci !
RépondreSupprimerJoli ... Merci ];-D
RépondreSupprimerdes écrits superbes et très vrais.
RépondreSupprimerTrès bonne journée.
C'est un temps que je ne connaissais pas... très poétique, comme toujours. Merci Crouk!
RépondreSupprimerJe te rendrais volontiers ton invitation un jour pendant les vacances. Qu'en penses-tu?