Assis en apesanteur, Ils flottent dans un espace familier, Aux premières étoiles , Ils accrochent des étincelles. Nés du feu, Personnages éphémères, Spectateurs de l'infini, Le vent les emporte..
Andiamo et les autres visiteurs d'hier soir, Bonjour à vous! c'est réconfortant ces petits signes sympathiques par ce jour de pluies dilluviennes!! mieux vaut rester au coin du feu!
Bashung encore, ou ne serais ce que l'aléatoire ? Comme ces voyageurs, la musique emporte au loin, au coin du feu.
RépondreSupprimermerci de ta pensée
RépondreSupprimerTrès beau poème,j'aime quand ça parle de vent, d'étoile et de feu, j'aime tout simplement.
RépondreSupprimerJ'ai vu de la lumière (le feu sans doute), je suis entré : bonjour ];-D
RépondreSupprimerAndiamo et les autres visiteurs d'hier soir, Bonjour à vous! c'est réconfortant ces petits signes sympathiques par ce jour de pluies dilluviennes!! mieux vaut rester au coin du feu!
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