Tandis-que s'affairent grandes et petites métamorphoses,
Au ras du sol , à mi- pente ou dans les airs
En tapinois, mine de rien,
Ou bien tout en éclats de rires colorés et exubérants ,
Tiges et parfums , promesse de saveurs rouges,
Arbres croulants de fruits minuscules et verts
Au dedans , derrière le volet troué,
La bête rumine et mijote ,
Se demande quoi faire : rester cachée, sortir ,
Sourire ou grogner..
La tanière est pleine à craquer ,
A quand le grand Cric?
j'ouvre bien grand les volets...............................
RépondreSupprimeroui! c'est le mieux !
RépondreSupprimerménage à prévoir!!
Derrière de si beaux volets,il ne peut y avoir que de l'amour,un bol de fraises sur la table et des lilas dans un vase...
RépondreSupprimerSi je me trompe, que le grand Cric me croque....
IL y a aussi,
RépondreSupprimerde la douceur,
de la joie de vivre,
du bonheur,
Les volets sont fermés car :
pour vivre heureux vivons cachés...
EXCELLENTE SOIREE A TOI ....
... mmmmmmmm...
RépondreSupprimerj'suis venue traîner mes narines allergisées....
ça sent bon par ici !!!
=)
Quelle bête ? Je me demande maintenant...L'âne aux yeux verts qui a dormi cet hiver dans la maison du Courbier ? L'âne de la plage qui, rouge et jaune, a mangé les poils des pinceaux de Croukougnouche ?
RépondreSupprimertu crois pas si bien dire Lôlà , car âne il y a , mais pas dans la tanière , juste au dessus , chez les voisins de la colline , ils en ont deux , qui braient à qui mieux mieux , à certaines heures ..
RépondreSupprimerDans la tanière , c'est Croukougnouche qui mijote ses trucs-bidules et ses idées fumeuses , et alors , elle range pas ses affaires , c'est en tas , en couches superposées , alors là, je crois qu'il faut faire quelque chose , bientôt..bientôt..
Ouvre les volets, Crouk***, pour ne pas être cric crac dans ta baraque ! Et la lumière fut, tant pis pour les couches superposées, elles vont sentir ce beau et lilas qui ne demande qu'à offrir son odeur éphémère... Quelle douceur, sur cette photo, et un peu de mystère, mystère...
RépondreSupprimerLes oiseaux s'en donnent à coeur joie chez toi ! Il y en a un, au moins, qui se lèche les babines, il faut te mettre à l'unisson, et le reste suivra !
RépondreSupprimerJ'ouvre doucement la porte et passe un visage encore dans le sommeil. Il fait nuit... un chant de criquet...
RépondreSupprimerle ricanement de l'oiseau... les parfums et les lumières douces des étoiles....