La végétation en emprise de territoire.
Se faufiler , de profil,
Écarter des épaules les branches trop tentacules,
Le dos frotte aux pierres rugueuses du mur d'enceinte..
Faire le tour,
Trouver l'entrée, s'il y en a une...
Peut-être , d'une fenêtre nous observe-t-on?
Comment savoir?
Le silence est peuplé d'oiseaux
Et de vertes odeurs,
les petits cailloux sont tombés de ma poche..
A noter : la prochaine fois, prévoir un taille-haie pour la végétation et un rasoir électrique pour l'habitant des lieux. Quoi que... le taille-haie ne serait peut-être pas de trop pour ce dernier, finalement ! :~)
RépondreSupprimerLes petits cailloux sont tombés de ma poche. Des diamants de rêve pour montrer le chemin à ma belle esseulée.La bête est tapie dans l'encoignure du mur. Elle attend...
RépondreSupprimerHum, j'adore les passages, qu'est ce qu'il y a au bout ? Mais bien souvent c'est le passage le plus important...
RépondreSupprimerJ'ai redécouvert La Belle et la Bête il y a quelques mois, en lisant "Le Silence de la Mer" de Vercors, il y a un passage sur ce conte qui m'avait donné envie de le relire.
Tu es lierre et sur ce lierre je construirai mon mur ))
RépondreSupprimerSe faufiler, filer en douce...Ouïe ça pique !
RépondreSupprimerAu fait Croukougnouche, j'adore ta playlist "la forêt perdue" !!!
RépondreSupprimermystère:
RépondreSupprimermerci! j'ai une affection particulière pour Ravel et Debussy..
Partir à la découverte ...
RépondreSupprimermais rien que la difficulté de se faufiler est une aventure à elle seule,
se prendre pour un Robinson, se protéger des ronces, se griffer les bras, les jambes, sentir le chatouillis d'un insecte rampant ::))
grrrrrrrrr; vite, retourner chercher des bottes!!!!
l'insecte rampant , tombé dans l'encolure du pull.. l'horreur! j'en frémis ,
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