monotype à l'huile et pastels
Les 7 (parlé) :
Une nymphe auguste le retenait captif au creux de ses cavernes , qui brûlait , cette toute divine, de l'avoir pour époux .
Une voix:
" Vous m'enviez , O Dieux ! la présence d'un homme, alors que ce mortel, c'est moi qui l'ai sauvé ! Abandonné de tous, il flottait sur sa quille !
+ instrumental
De son éclair livide, Zeus avait foudroyé et fendu son croiseur en pleine mer vineuse .
Quand le houle et le vent sur ces bords le jetèrent, c'est moi qui l'accueillis , le nourris, lui promis de le rendre immortel et jeune à jamais .
Chanté ( 1 voix) :
Tu regardes en arrière si quelque trace d'azur ne te trahirait pas , tu regardes par terre si quelque plume tombée de tes ailes ne te démasquerait pas ... Assez souvent , une plume tombe , légère comme l'écume de la mer , légère comme la neige tiède .
Reprise instrumental
+
Parlé , 1 voix:
De son berceau de brume , à peine était sortie l'Aurore aux doigts de rose qu' Ulysse revêtait la robe et le manteau .
La nymphe se drapa d'un grand linon neigeux à la grâce légère.
C'est un long et beau voyage que tu nous proposes. Un long voyage amoureux, des décors de rêve, la mer infiniment bleue et parfois ses colères, les hommes et leur faiblesse. Les mythes... nos racines.
RépondreSupprimerHou la la, j'ai pris beaucoup de retard dans la lecture de ton blog Croukougnouche, mais je sens que je vais faire un beau voyage à travers ces chants :)
RépondreSupprimerMerci!!
RépondreSupprimerbon voyage à vous deux , Christian et Mingingi!!