photos V Balaÿ / spectacle Compagnie Cacahuète
Sans doute aurait il du renoncer à penser.
La rumeur du Monde suffisait
Au contre jour flou,
Lueur effrangée d'un étrange été.
Prendre le contre-pied
Et tendre la joue
C'est tout.
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Ce visiteur du soir,il n'aurait pas dû boire.
RépondreSupprimerDans un moment d'ivresse,il avait fait promesse....mais au petit matin,rien que l'humeur chagrin,ne restait que la brume,même plus de clair de lune...
Pan de chemise sorti du pantalon et tête toute barbouillée...
RépondreSupprimerLe réveil sera sans doute douloureux!
Tendre la joue ? Ca dépend pour quoi .
RépondreSupprimeravec une amie,
RépondreSupprimeron écrit des textes
pour une comédienne bruxelloise qui prépare
un album ...
dans une des chansons ...
" n'oublie pas de pas penser "
-O)
Tendre la joue à la brise qui passe , mais pas pour la gifle des mauvais jours
RépondreSupprimerLes réveils nous trouvent parfois étrangers à nous même , ce qui peut être l'occasion de changer de peau en changeant d'humeur.
les visiteurs du soir ont les paupières en coquilles d'huitre et les rêves un peu fossiles.
Je suis alléchée par ces chansons en devenir , et vraiment je suis de plus en plus convaincue que la meilleure manière de surnager c'est de ne pas penser , ou alors , en pointillés , un jour sur deux: c'est fou comme çà allège!!
La rumeur du Monde suffit, je dis oui. Au loin, loin.
RépondreSupprimerPenser en rond, non, penser peu mais à propos, pas à défaut de, oui. Sentir, humer, respirer vraiment, autrement, juste ça, c'est déjà beaucoup beaucoup.
Tendre la joue quand ça rayonne et revient vers toi.
..
RépondreSupprimerla voix de Cohen habille la sérénité présente.
Bonjour ...